
Grand partenariat entre la France et l'Afrique
Apporter notre aide au développement de la « grande muraille verte » entre l'Atlantique et l'Indien
La mise en place d’une « OPEP » des denrées agricoles :
qui, sur le modèle de ce qui existe depuis 1970 pour le pétrole, aurait pour objectif de réguler l’offre afin qu’elle s’ajuste constamment à la demande. Ainsi serait combattue l’instabilité des prix alimentaires, néfaste aussi bien aux agriculteurs qu’aux consommateurs. Une telle organisation avait d’ailleurs été mise en place avec succès au début des années 1990 par les pays producteurs de café ;
Soutenir le développement des marchés communs existants (UEMOA, CEMAC)
sur le modèle de notre Marché commun initial, afin que les pays africains puissent protéger leurs productions (taxes douanières) contre les importations ou contre les achats de terres par des entités étrangères, et inciter les investissements par des avantages fiscaux afin de transformer sur le continent ses matières premières ;
Favoriser l’électrification du continent africain, qui est l’une des principales conditions de son développement économique.
Il n’existe pour cela aucun problème technique majeur mais seulement un défi financier : réunir une subvention publique internationale d’environ quatre milliards de dollars par an pendant douze ans qui permettrait de sécuriser – et donc d’encourager – les investissements réalisés dans ce secteur. La France doit clairement se porter à la tête d’un tel projet, d’abord en s’engageant à y apporter une contribution digne de l’intérêt qu’elle porte au développement du continent africain, ensuite en utilisant sa puissance diplomatique pour promouvoir un tel projet auprès des autres membres de la communauté internationale.
Les projets de développement agricole doivent favoriser les coopérations Sud-Sud.
Les expériences menées (le Vietnam avec le Mali, Madagascar, le Congo Brazzaville) ont démontré leur efficacité dès lors que le pays du Sud partenaire transfère des technologies qui ont démontré leur efficacité sur son propre territoire. Les terres africaines ne peuvent être utilisées par les partenaires comme des aires extraterritoriales dont les productions agricoles n'ont de retombées positives que pour le pays étranger qui vient exploiter les terres, oubliant les besoins des populations locales. La France doit apporter son aide humaine et logistique à de tels partenariats.
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