
Handicap
Revaloriser l’AAH de 200 €
Ouvrir notre société aux personnes en situation de handicap
Garantir l’accessibilité des personnes en situation de handicap
Déterminer un agenda et un plan d’action concret avec les associations, les collectivités locales et les entreprises, afin de faire appliquer la loi du 11 février 2005, détricotée par les dérogations (3ans, 6 ans, 9 ans) accordées par l’État.
Il s’agit de définir une date butoir réaliste pour la mise en accessibilité des personnes en situation de handicap aux transports en commun, à la voirie, aux administrations, aux entreprises, aux bâtiments, aux commerces…
Innover en développant des accessoires facilitant l’autonomie et l’indépendance des personnes en situation de handicap grâce aux nouvelles technologies :
• Créer des sites conformes aux normes européennes pour l’accessibilité des malvoyants, fauteuils électriques « intelligents », lunettes « intelligentes »... • Privilégier pour les personnes à mobilité réduite l’accès au télétravail (ce qui passe par l’extension de l’accès au très haut débit et de la couverture des téléphones portables à toutes les zones rurales, bourgs et petites villes). • Renforcer l’accès au numérique pour les personnes en situation de handicap, grâce à des contenus audio et visuels adaptés. • Créer un fonds financier de 50 millions d’€ pour développer la recherche, la diffusion et la fabrication française des accessoires intelligents.
Agir pour les enfants en situation de handicap
Revoir le dispositif d’insertion à l’école des enfants en situation de handicap et garantir une prise en charge par l’éducation nationale dès l’âge de 3 ans :
• Créer des postes d’AVS (Assistante de Vie Scolaire) et d’AESH (Accompagnement des Élèves en Situation de Handicap) en nombre suffisant afin que tous les élèves en situation de handicap aient une solution de scolarisation durable et à temps complet. • Permettre aux AVS et AESH de suivre une formation qualifiante et diplômante et avoir une perspective professionnelle stable.
Augmenter le nombre de contrôles inopinés par les ARS (Agence Régionale de Santé) afin de lutter efficacement et durablement contre les dysfonctionnements et maltraitances et définir un statut protecteur pour les lanceurs d’alertes *
* dénonçant ces dysfonctionnements et maltraitances.(professionnels, parents, proches…)
Assurer la possibilité pour les personnes en situation de handicap d’être formées et de travailler
Mettre en place un suivi régulier (au moins une fois par an) des travailleurs en situation de handicap pour s’assurer du respect de leur RQTH (Reconnaissance en Qualité de Travailleur Handicapé) et des bonnes conditions de travail *
* afin de prévenir les infractions au droit du travail que ce soit en entreprise ordinaire, en EA (Entreprise Adaptée), en CDTD (Centre de Distribution du Travail à Domicile) et en ESAT (Établissement de Services d’Aide par le Travail).
Allouer de nouvelles ressources pour les personnes en situation de handicap
Faire en sorte que l’autisme permette d’ouvrir des droits auprès de la MDPH et que les éventuelles particularités à la prise en charge se déterminent lors de l’entretien pour définir le projet de vie de l’enfant. *
* De trop nombreux autistes sont contraints de quitter la France, leur situation est trop peu et trop mal considérée en France.
Reconnaître la place et le rôle des aidants dans notre société
Déployer une politique de soutien aux aidants en entreprise afin qu’ils ne soient plus contraints d’arrêter de travailler.
• Instaurer l'obligation d'un volet « Aidants en emploi » dans les négociations annuelles obligatoires. • Mettre en place des formations pour les aidants qui pourront être prises dans le cadre du Congé individuel de Formation (CIF) ou du Compte Formation Professionnel (CFP). • Agir pour que les compétences acquises par les aidants en s’occupant d’un proche puissent faire l’objet d’une validation pour être reconnue dans le monde professionnel. • Garantir un quota de jours (par an) de mise à disponibilité rémunérée permettant l’accès aux soins liés à la maladie ou au handicap. • Etendre le dispositif de dons (anonyme et sans contrepartie) de jours de repos, aux aidants d’une personne âgée en perte d’autonomie et des personnes en situation de handicap.
Mieux prendre en compte la santé et le bien-être des aidants
• Permettre l’accès pour les aidants qui le souhaitent à des espaces d’information, de soutien, de formation, de médiation. • Encadrer et favoriser le baluchonnage (service qui permet au proche aidant de passer le relais à un ou plusieurs « baluchonneurs » sur un temps plus ou moins long, 24h/24, à domicile).
Mener la chasse à la bureaucratie et améliorer le fonctionnement des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) sur tout le territoire
Exiger une meilleure coordination entre les Caisses d’assurance maladie et les MDPH pour éviter, comme c’est le cas actuellement, des décisions contradictoires entre les deux services. *
* La décision du médecin Conseil de la CPAM doit être prise en compte dans les critères du dossier MDPH.
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