
Agriculture
Instaurer une exception agricole à l’OMC et dans tous les accords commerciaux sur le modèle de l’exception culturelle
Soutenir, simplifier, encourager
Retrouver notre influence au niveau européen et mondial pour sauver l’agriculture française
Instaurer une exception agricole à l’OMC et dans tous les accords commerciaux sur le modèle de l’exception culturelle !
L’agriculture ne peut se réduire à une seule bataille sur les prix. Elle doit remplir d’autres exigences que l’OMC ne lui reconnait pas : assurer la sécurité alimentaire des populations, garantir la sécurité sanitaire des aliments, valoriser les territoires.
Renouer avec la PAC et ses 3 volets : préférence communautaire, prix garantis et quotas.
L’Europe doit protéger son marché et n’autoriser que les importations ne faisant pas obstacle à la réalisation de sa politique d’indépendance alimentaire, en instaurant un mécanisme de droits de douane variables. Si nous ne sommes pas entendus, nous rétablirons une politique agricole nationale.
Refuser les traités transatlantiques (ou les dénoncer s’ils venaient à être adoptés d’ici à la présidentielle)*
car ils déstabiliseront notre agriculture, généraliseront des mauvaises pratiques, (comme le poulet au chlore ou le bœuf aux hormones), et détruiront nos terroirs.
Exiger l’étiquetage obligatoire du pays d’origine des produits !
Les consommateurs sont dupés par l’opacité créée par certaines marques qui utilisent des slogans pour cacher l’endroit où ils s’approvisionnent.
Soutenir une production de qualité
Soutenir une agriculture à la fois moderne et respectueuse du sol et de la terre et favoriser les agriculteurs français, notamment ceux qui se tournent vers l’agriculture biologique, par la création et la promotion d’un label unique « Fait en France »*
*pouvant aussi être décliné dans les départements « Fait en France – Nom du département ». Ce label permettrait d’identifier l’origine des produits français avec leurs normes et le savoir-faire local et de : • Donner une visibilité aux entreprises agricoles et alimentaires françaises qui proposent aux consommateurs le « fait en France ». • Permettre aux consommateurs, notamment les urbains éloignés des lieux de production, de trouver dans leurs rayons des produits de leur région ou de leur département. • Toucher les 85 millions de touristes en visite chaque année en France. • Favoriser les produits à l’exportation.
Privilégier les circuits courts dans le domaine agricole (la vente directe du producteur au consommateur ou la vente indirecte à condition qu’il n’y ait qu’un seul intermédiaire) *
afin de faire baisser les prix pour les consommateurs tout en augmentant les marges des producteurs. En outre, les circuits courts permettent d’éviter des dommages environnementaux pour la planète (consommation de carburant, émission de gaz à effet de serre).
Protéger nos agriculteurs
Restructurer la dette des agriculteurs surendettés en créant un fonds par lequel l’Etat serait prêteur en dernier ressort et inciter les banques à financer leurs projets. *
*A titre d’exemple, en cas de difficultés, l’Etat rachète la dette et la rééchelonne.
Soutenir l’installation des jeunes agriculteurs. *
*Si des progrès ont été faits ces dernières années en ce sens, il convient de poursuivre les incitations fiscales à l’intention de ces derniers et de leur assurer une visibilité suffisante de l’avenir par les réformes évoquées ci-dessus.
Simplifier la vie de nos agriculteurs et alléger leurs charges
Mettre fin à l’accumulation des normes et des réglementations écologiques toujours plus absurdes ! *
*Aujourd’hui, l’Etat demande aux agriculteurs de concilier deux impératifs inconciliables : faire face à la concurrence de pays ne respectant aucune norme environnementale et produire avec toujours plus de contraintes. Accompagnons au contraire nos agriculteurs, soutenons leurs initiatives visant des objectifs de qualité et de durabilité.
Encourager les bonnes pratiques agricoles et préserver les équilibres de la biodiversité
Encourager le recours à une agriculture raisonnable.
• Favoriser la diversification des productions afin de créer des cycles de rupture contre les parasites et les mauvaises herbes. • Favoriser la sélection des plantes les plus rustiques (résistantes). • Créer un site d’information en continu sur l’usage des produits phytosanitaires.
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